L'Acupuncture

L’acupuncture est une des 5 disciplines faisant partie de la médecine traditionnelle chinoise. Elle est utilisée depuis des milliers d’années en Chine et elle est apparue en Occident au début du XX ème siècle. L’acupuncture se place au premier rang des 5 techniques thérapeutiques de la médecine chinoise qui sont pratiquées en Europe. Elle a fait ses preuves dans plusieurs domaines (gynécologie, système digestif, système ORL, etc…) et en 2003, l’OMS a établi une liste de plusieurs maladies qui sont traitées efficacement par acupuncture.

L’acupuncture est une technique thérapeutique qui consiste à planter de fines aiguilles sur des points très précis en lien avec les méridiens. Les méridiens sont des canaux énergétiques qui communiquent entre la profondeur et la superficie, le haut et le bas, la gauche et la droite du corps humain. Ils traversent donc tout le corps et sont en lien direct avec les différents organes (Foie, Rate, Rein etc…). Chaque méridien possède plusieurs points et le « Qi » (énergie, souffle) circule dans ces méridiens. Toutes perturbations (émotionnelles, climatiques, physiques) de cette circulation va entraîner l’apparition d’une maladie. L’acupuncture va donc réguler cette circulation en remplissant les vides et en évacuant les trop-pleins d’énergie afin que le patient retrouve son équilibre dans son environnement.

L'Acupuncture

L’acupuncture est une des 5 disciplines faisant partie de la médecine traditionnelle chinoise. Elle est utilisée depuis des milliers d’années en Chine et elle est apparue en Occident au début du XX ème siècle. L’acupuncture se place au premier rang des 5 techniques thérapeutiques de la médecine chinoise qui sont pratiquées en Europe. Elle a fait ses preuves dans plusieurs domaines (gynécologie, système digestif, système ORL, etc…) et en 2003, l’OMS a établi une liste de plusieurs maladies qui sont traitées efficacement par acupuncture.

L’acupuncture est une technique thérapeutique qui consiste à planter de fines aiguilles sur des points très précis en lien avec les méridiens. Les méridiens sont des canaux énergétiques qui communiquent entre la profondeur et la superficie, le haut et le bas, la gauche et la droite du corps humain. Ils traversent donc tout le corps et sont en lien direct avec les différents organes (Foie, Rate, Rein etc…). Chaque méridien possède plusieurs points et le « Qi » (énergie, souffle) circule dans ces méridiens. Toutes perturbations (émotionnelles, climatiques, physiques) de cette circulation va entraîner l’apparition de la maladie. L’acupuncture va donc réguler cette circulation en remplissant les vides et en évacuant les trop-pleins d’énergie afin que le patient retrouve son équilibre dans son environnement.

La technique de poncture de l'acupuncture

La Pharmacopée chinoise

La pharmacopée chinoise est un des 5 piliers de la médecine chinoise. Cette pratique thérapeutique est extrêmement vaste et très complexe de par la quantité de substances existantes. En effet, dans la pharmacopée chinoise il existe différents ingrédients provenant non seulement du règne végétal, mais également du règne minéral et animal. Plusieurs plantes utilisées dans la médecine traditionnelle chinoise sont très connues comme la réglisse ou la rhubarbe mais certaines sont méconnues voire inconnues en Occident. Les différentes parties utilisées peuvent être les feuilles, les racines, les fleurs et l’écorce.

En pratique, le thérapeute va établir une préparation contenant plusieurs plantes afin d’avoir un effet optimal de par la combinaison des herbes prescrites. Chaque herbe sera choisie en fonction de sa saveur (sucrée, salée, amère, épicée) de sa couleur, sa nature (chaude, froide, neutre), ses propriétés (tonifier, disperser, consolider).

Il est donc primordial d’établir un diagnostic en médecine chinoise afin de pouvoir prescrire la bonne combinaison pour le patient. En effet, pour une même pathologie, nous utiliserons différentes plantes en fonction du diagnostic préalablement établi par le thérapeute.

Généralement, la pharmacopée chinoise est prise en décoction. L’inconvénient est qu’elle nécessite un certain temps de préparation raison pour laquelle, aujourd’hui, elle est plutôt prescrite en poudre ou gélule afin d’être plus facilement ingérée.

La prise des prescriptions d’herbes chinoises utilisées est parfois difficile pour le patient car elles ont souvent mauvais goût. Cependant, cette raison ne doit pas être un frein à la prise de la pharmacopée chinoise car les résultats sont très positifs.

La Pharmacopée chinoise

La pharmacopée chinoise est un des 5 piliers de la médecine chinoise. Cette pratique thérapeutique est extrêmement vaste et très complexe de par la quantité de substances existantes. En effet, dans la pharmacopée chinoise il existe différents ingrédients provenant non seulement du règne végétal, mais également du règne minéral et animal. Plusieurs plantes utilisées dans la médecine traditionnelle chinoise sont très connues comme la réglisse ou la rhubarbe mais certaines sont méconnues voire inconnues en Occident. Les différentes parties utilisées peuvent être les feuilles, les racines, les fleurs et l’écorce.

En pratique, le thérapeute va établir une préparation contenant plusieurs plantes afin d’avoir un effet optimal de part la combinaison des herbes prescrites. Chaque herbe sera choisie en fonction de sa saveur (sucrée, salée, amère, épicée) de sa couleur, sa nature (chaude, froide, neutre), ses propriétés (tonifier, disperser, consolider).

Il est donc primordial d’établir un diagnostic en médecine chinoise afin de pouvoir prescrire la bonne combinaison pour le patient. En effet, pour une même pathologie, nous utiliserons différentes plantes en fonction du diagnostic préalablement établi par le thérapeute.

Généralement, la pharmacopée chinoise est prise en décoction. L’inconvénient est qu’elle nécessite un certain temps de préparation raison pour laquelle, aujourd’hui, elle est plutôt prescrite en poudre ou gélule afin d’être plus facilement ingérée.

La prise des prescriptions d’herbes chinoises utilisées est parfois difficile pour le patient car elles ont souvent mauvais goût. Cependant, cette raison ne doit pas être un frein à la prise de la pharmacopée chinoise car les résultats sont très positifs.

Pharmacopée chinoise

La Moxibustion

La moxibustion est une technique de soins qui fait partie de l’arsenal thérapeutique de la médecine chinoise. Elle est fréquemment utilisée en combinaison avec l’acupuncture afin de traiter principalement des pathologies respiratoires, digestives et articulaires. On l’appelle « Moxa » ou armoise asiatique (Artemisia Argyi), cette plante que l’on va brûler près de la peau sur des points d’acupuncture, afin de faire pénétrer la chaleur à l’intérieur du corps.

Il existe différents champs d’applications du moxa.

Le moxa direct : la technique consiste à brûler un petit cône de moxa directement sur la peau et le praticien l’enlèvera dès que le patient ressentira une trop forte chaleur. Cette technique peut se révéler dangereuse du fait des risques de brûlure de la peau.

Le moxa indirect : la technique consiste à maintenir un bâtonnet de moxa proche de la peau du patient en faisant des allers-retours (picorement d’oiseau) afin de ne pas brûler le patient. C’est généralement la technique la plus utilisée.

Le moxa-gingembre : la technique consiste à appliquer une rondelle de gingembre frais sur la peau, de faire des trous dans celle-ci et d’y mettre un cône de moxa dessus. Cette technique permet de faire pénétrer la chaleur en profondeur à l’aide de l’effet calorifique du gingembre. Cette méthode est très efficace pour traiter la diarrhée.

Le moxa-ail : la technique est similaire à celle du gingembre mais avec de l’ail. Cette technique se révèle très efficace contre les ulcères.

Cependant, quelle que soit la technique, il y a 2 inconvénients à l’utilisation du moxa, à savoir la fumée et l’odeur. Même s’il existe du moxa sans fumée, celui-ci peut s’avérer toxique par les émanations qu’il dégage. L’odeur du moxa ressemble à celle de l’herbe brûlée (cannabis, marijuana) et peut donc déranger les patients.

La moxibustion peut donc être utilisée pour traiter les bronchites, les diarrhées, selles molles, crampes menstruelles, incontinences urinaires, les troubles musculo-tendineux, la fatigue, ainsi que pour tonifier le système immunitaire.

Vidéo explicative des différentes techniques :

La Moxibustion

La moxibustion est une technique de soins qui fait partie de l’arsenal thérapeutique de la médecine chinoise. Elle est fréquemment utilisée en combinaison avec l’acupuncture afin de traiter principalement des pathologies respiratoires, digestives et articulaires. On l’appelle « Moxa » ou armoise asiatique (Artemisia Argyi), cette plante que l’on va brûler près de la peau sur des points d’acupuncture, afin de faire pénétrer la chaleur à l’intérieur du corps.

Il existe différents champs d’applications du moxa.

Le moxa direct : la technique consiste à brûler un petit cône de moxa directement sur la peau et le praticien l’enlèvera dès que le patient ressentira une trop forte chaleur. Cette technique peut se révéler dangereuse du fait des risques de brûlure de la peau.

Le moxa indirect : la technique consiste à maintenir un bâtonnet de moxa proche de la peau du patient en faisant des allers-retours (picorement d’oiseau) afin de ne pas brûler le patient. C’est généralement la technique la plus utilisée.

La thérapie par moxibustion

Le moxa-gingembre : la technique consiste à appliquer une rondelle de gingembre frais sur la peau, de faire des trous dans celle-ci et d’y mettre un cône de moxa dessus. Cette technique permet de faire pénétrer la chaleur en profondeur à l’aide de l’effet calorifique du gingembre. Cette méthode est très efficace pour traiter la diarrhée.

Le moxa-ail : la technique est similaire à celle du gingembre mais avec de l’ail. Cette technique se révèle très efficace contre les ulcères.

Cependant, quelle que soit la technique, il y a 2 inconvénients à l’utilisation du moxa, à savoir la fumée et l’odeur. Même s’il existe du moxa sans fumée, celui-ci peut s’avérer toxique par les émanations qu’il dégage. L’odeur du moxa ressemble à celle de l’herbe brûlée (cannabis, marijuana) et peut donc déranger les patients.

La moxibustion peut donc être utilisée pour traiter, les bronchites, les diarrhées, selles molles, crampes menstruelles, incontinences urinaires, les troubles musculo-tendineux, la fatigue, ainsi que pour tonifier le système immunitaire.

Vidéo explicative des différentes techniques :

Les Ventouses chinoises

Les ventouses sont une des techniques thérapeutiques de la médecine chinoise. Les Romains, les Grecs, les Indiens, les Egyptiens et les Arabes les utilisaient également afin de traiter des affections pulmonaires, viscérales et dermatologiques. Cependant, avec l’arrivée des antibiotiques, cette technique est passée au second plan, voire même a été abandonnée. Mais dans la médecine chinoise, les ventouses ont toujours été utilisées afin de traiter la maladie. Aujourd’hui, la thérapie par les ventouses est très prisée par les sportifs et les stars.

Le principe de cette technique est de flamber la ventouse (en verre principalement) afin de créer un vide d’air et de l’appliquer rapidement sur la peau du patient. Il est important de préciser que le patient ne ressent aucune douleur mais peut ressentir une sensation de chaleur et de traction de la peau.

Les ventouses sont donc appliquées sur des points d’acupuncture afin de chasser les agents pathogènes décrits dans la médecine chinoise, à savoir, le froid, la chaleur, l’humidité, le vent qui sont responsables des déséquilibres du corps. L’énergie bloquée va passer de la profondeur à la superficie pour ensuite être évacuée. À la fin du traitement, les ventouses laisseront des marques rouges sur le corps du patient qui disparaitront en une semaine. Ceci est le signe d’une bonne efficacité du traitement.

Rappelons donc que les ventouses chinoises sont utilisées afin de traiter des pathologies de type respiratoires (toux, rhume…), rhumatismales (arthrose), musculaires (tendinopathies, contractures) et circulatoire (hématome, œdème…).

Les Ventouses chinoises

Les ventouses sont une des techniques thérapeutiques de la médecine chinoise. Les Romains, les Grecs, les Indiens, les Egyptiens et les Arabes les utilisaient également afin de traiter des affections pulmonaires, viscérales et dermatologiques. Cependant, avec l’arrivée des antibiotiques, cette technique est passée au second plan, voire même a été abandonnée. Mais dans la médecine chinoise, les ventouses ont toujours été utilisées afin de traiter la maladie. Aujourd’hui, la thérapie par les ventouses est très prisée par les sportifs et les stars.

Le principe de cette technique est de flamber la ventouse (en verre principalement) afin de créer un vide d’air et de l’appliquer rapidement sur la peau du patient. Il est important de préciser que le patient ne ressent aucune douleur mais peut ressentir une sensation de chaleur et de traction de la peau.

Les ventouses sont donc appliquées sur des points d’acupuncture afin de chasser les agents pathogènes décrits dans la médecine chinoise, à savoir, le froid, la chaleur, l’humidité, le vent qui sont responsables des déséquilibres du corps. L’énergie bloquée va passer de la profondeur à la superficie pour ensuite être évacuée. À la fin du traitement, les ventouses laisseront des marques rouges sur le corps du patient qui disparaitront en 1 semaine. Ceci est le signe d’une bonne efficacité du traitement.

Rappelons donc que les ventouses chinoises sont utilisées afin de traiter des pathologies de type respiratoires (toux, rhume…), rhumatismales (arthrose), musculaires (tendinopathies, contractures) et circulatoire (hématome, œdème…).

La pratique des ventouses chinoises